Très bel article sur les Nouvelles de Bourges sur notre amie Adrienne Bonnet, adhérente et bénévole à A.S.I.E , au parcours professionnel de comédienne, auteure et metteur en scène d’une grande richesse.
Adrienne c’est le talent, la gentillesse et la générosité et l’engagement pour la culture et la jeunesse.
En octobre prochain elle mènera un projet culturel et environnemental en Ouzbékistan avec 3 autres bénévoles de l’association et 14 jeunes.
Conférence Université Populaire du Berry 6 janvier 2023 à 19h ,
par Mireille-Joséphine Guézennec
Le Gange, fleuve sacré par excellence, occupe une place éminente dans la vie et l’imaginaire des Hindous. Cette conférence propose à la fois un voyage géographique et poétique en images pour découvrir la puissance des mythes en références à quelques textes fondateurs qui présentent les hauts lieux géographiques, ainsi que les traditions cultuelles et culturelles que le fleuve inspire : cérémonies, rituels et initiations, fêtes et pèlerinages….Paysages et visions en images qui nous feront ressentir cette ferveur unique et vibrante que le Gange suscite et qui, depuis toujours, anime le cœur des millions de pèlerins venus des confins de l’Inde et attire des voyageurs du monde entier…
Inspirée par ses nombreuses pérégrinations en Inde, Mireille-Joséphine Guézennec, indianiste, photographe et philosophe-voyageuse nous fera vivre quelques temps forts de la vie du fleuve. Depuis sa source en Himalaya, à Gaumukh (4200m), en passant par les principales villes saintes – Gangotri, Haridwar, Allahabad, Bénarès-Vâranasî…- où sont célébrées de grandes fêtes saintes, qui suscitent des temps de réjouissances ou des moments contemplatifs, jusqu’à son embouchure à Ganga Sagar, au sud de Calcutta, là où ses eaux se jettent dans le Golfe du Bengale.
M.J. Guézennec est l’auteur de plusieurs « beaux livres » illustrés de nombreuses photos dont « Gange aux sources du fleuve sacré » Éditions Cheminements, traduit en anglais « Ganga in search of the Sources », Rupa and co (Delhi) et « Kashi, Bénarès, Vâranasî, voyage initiatique au cœur de la capitale spirituelle de l’Inde » L’àpart Editions, avec le patronage de la « Commission nationale française pour l’UNESCO ».
Université Populaire du Berry.
Maison des Association, 28 rue Gambon 18000 BOURGES.
Conférence vendredi 6 janvier 2023 de 19h à 20h30
Inscriptions : Adhérents 9 euros – non-adhérents 11 euros
Tél: 02.48.65.44.87 – mail : upberry.bourges@gmail.com
Crédit Photos : ©MJ Guézennec
Nous vous donnons rendez-vous samedi 14 mai 2022 après-midi, au festival “Faites de l’écologie“, dans le magnifique jardin de l’archevêché à Bourges .
Après une semaine dense en manifestations organisées par le Collectif Monde Solidaire 18, le Festisol 2021 s’est terminé par un concert plein de talent et de souffle de vie avec le chanteur Jo Ziako et ses musiciens. Juliette, de l’école Jules Ferry de Bourges, accompagnée de la comédienne Adrienne Bonnet, est venue apporter sur scène son enthousiasme.
Merci à Jo Ziako et à tous les membres du Collectifs Monde Solidaire 18 et aux bénévoles d’A.S.I.E pour cette semaine de Solidarité.
Le jeudi 24 février à 20h15 au cinéma de la Maison de la Culture de Bourges sera présenté, avec le soutien de notre association A.S.I.E., le film chinois “H6 – L’hôpital du peuple” en présence de la réalisatrice chinoise Ye Ye
Naturalisée française en 2015, elle décrit dans son premier long-métrage documentaire H6, présenté en séance spéciale au Festival de Cannes 2021, le quotidien de l’hôpital du peuple n° 6, l’un des plus grands de Shanghaï.Ce film a reçu une critique positive unanime que vous trouverez ci-dessous ainsi que le lien de la bande annonce.Nous vous attendons nombreux pour cet événement à ne pas manquer. Alain Payen , Chargé du Développement et de la Coordination des actions
https://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19593893&cfilm=293304.html
18 CRITIQUES PRESSE
Ce documentaire immersif épate par sa puissance existentielle. C’est aussi la révélation d’une réalisatrice au regard frontal et humaniste : Yé Yé. La critique complète est disponible sur le site Bande à part
C’est touchant, instructif, dur, drôle et passionnant.
Un film sidérant montre les conséquences d’un système de santé cédant aux sirènes du capitalisme. La critique complète est disponible sur le site L’Humanité
Il est moins question pour Ye Ye de porter un regard critique sur son pays que d’en montrer le versant intime. Celui d’une humanité confrontée à la souffrance qui se révèle avec sa pudeur, un certain fatalisme mais aussi une bonne dose d’humour et d’optimisme. La critique complète est disponible sur le site La Croix
Autant de situations et de personnages dont l’humanité nous bouleverse au fil de dialogues pudiques et crus, et où la souffrance n’interdit pas l’humour ni l’entrain. La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ce film ne se résume pas toutefois à l’intolérable étreinte de la souffrance et du dénuement. Il est aussi plein de vie, de résistance, d’espoir. Il est, à sa manière, un bel et pathétique éloge de l’endurance du peuple chinois. La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cette immersion, filmée avec une justesse chirurgicale, dans l’hôpital tentaculaire de Shanghai est une radiographie de la Chine d’aujourd’hui, où l’archaïsme nargue la modernité, la tragédie flirte avec la comédie et la poésie en impose à la technologie. La critique complète est disponible sur le site Le Nouvel Observateur
Ye Ye, avec un œil aussi élégant qu’efficace, soigne son cadre pour portraiturer ces délaissés dans leur dignité. La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ye Ye filme avec beaucoup d’humanité et de talent cinq familles confrontées à l’injustice et aux contradictions du système de santé chinois. La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
En suivant cinq familles dans l’immensité de l’Hôpital du peuple n°6 de Shanghai, la cinéaste Ye Ye offre une plongée fascinante dans le tentaculaire réseau de santé chinois pré-Covid, radiographie d’un microcosme social autant que d’une modernité économiquement sans pitié. La critique complète est disponible sur le site Libération
La belle idée de ce long métrage est de montrer ces corps forcés à l’immobilisme sous la verve étonnante de l’optimisme, la résilience, et d’un boute-en-train salvateur. La société chinoise semble refuser de se laisser abattre, de fondre dans le miroitement des humeurs négatives même dans les situations préoccupantes et inespérées.
Poétique, drôle, touchant, émouvant… H6 est la photographie d’un lieu et des gens qui y passent. A un niveau plus symbolique, le film raconte aussi le rapport d’un peuple à la maladie, à la vie et à la mort. A sa culture. C’est assez fascinant. La critique complète est disponible sur le site Première
Devant la caméra de Ye Ye, l’hôpital devient le précipité du gigantisme et de la misère sociale, en Chine, mais c’est bien l’étrange mélancolie joyeuse d’un peuple en constante résilience qui domine, et force l’admiration. La critique complète est disponible sur le site Télérama
En révélant le travail à la chaîne de cet hôpital, H6 n’échappe pas totalement à la mécanisation, dans la redondance de certaines séquences ou le montage uniforme dans lequel il s’enferme. Mais il offre avant tout une dignité à ces êtres, leur créant un autre espace, plus hospitalier que le huis clos implacable dans lequel ils sont confinés.
Tourné avant le Covid, H6 marche à l’émotion. Cela ne suffit pas tout à fait pour captiver. La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Si le film n’est pas à charge contre l’hôpital chinois, la réalisatrice semble avoir pris le parti de démontrer à quel point ce sont les élans de solidarité individuels qui pallient les lacunes d’une froide organisation collective. Un parti pris brûlant d’actualité. La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Plusieurs semaines de la vie de cinq familles qui ont recours à l’hôpital H6 de Shanghai. Un témoignage étonnant d’humanité dans l’un des plus grands hôpitaux chinois. La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Roublard et par endroits douteux, H6 cherche à émouvoir au forceps. La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cette vidéo présente cet évènement ainsi que tous les domaines où la Dhan Foundation intervient auprès des plus démunis.
Les femmes et leur émancipation sont au cœur des préoccupation de la Dhan Foundation tout comme l’éducation, la formation, l’agriculture, le développement durable.
Bon Anniversaire à tous nos amis de la Dhan Foundation avec qui notre association A.S.I.E travaille depuis 2009.
L’Association de Géographes Français (AGF), le Centre d’Études sur le Développement des Territoires et l’Environnement (CEDETE) de l’Université d’Orléans et CENTRAIDER organise un colloque le 3 et 4 décembre prochain ayant pour thématique : “Quand les solidarités font territoires. Interroger les géographies du lien social à l’aune de la crise globale”
Il est possible de suivre ce colloque en ligne (inscription via le formulaire – avant le 28 novembre). Pour les participants, il est aussi conseillé de s’inscrire pour le repas du samedi midi.
Cet événement est gratuit pour les adhérents de Centraider.
Le 24 avril 2013, à Savar dans la banlieue de Dhaka au Bangladesh, un immeuble de 7 étages s’effondre sur des employés du textile, faisant au moins 1 138 morts et encore plus de blessés. Près de 100 corps ne seront jamais retrouvés. Dans cette construction initialement prévue pour 5 étages, travaillent ce jour là plus de 3000 personnes. Pourtant, depuis la veille, cet édifice présente de nombreux signes de faiblesse et le matin du 24 les employés refusent de reprendre le travail mais menacés de non paiement des salaires et de licenciement chacun regagne son poste… Il leur faut honorer les commandes de grandes enseignes occidentales. Pour moins de 2 € par jour, ils fabriquent nos vêtements. Même au Bangladesh, un tel salaire ne permet que de survivre.
Au Bangladesh, il existe des milliers d’ateliers comme celui-ci et les accidents mortels sont fréquents mais celui du Rana Plaza demeure le plus important qu’ait connu le pays, un véritable traumatisme pour le monde entier. Aujourd’hui, le gouvernement, des associations et des grands groupes étrangers souvent impliqués dans la catastrophe essaient d’améliorer les conditions de travail, les salaires, la sécurité et tentent de mettre en place des systèmes d’assurances.
“En novembre et décembre 2015, grâce à une importante association bangladaise, Gonoshasthaya Kendra, plus souvent appelée “GK”, j’ai la chance de rencontrer et photographier une centaine de survivants. Je suis alors très impressionné par leur dignité, leur capacité de résilience, leur courage. Il s’agit pour l’essentiel de jeunes femmes.
Toutes et tous ont vécu l’horreur de sentir le monde s’effondrer comme un château de cartes sous leurs pieds et sur leurs têtes aussi ; beaucoup se sont trouvés coincés, écrasés, broyés par des blocs de béton, des ferrailles, des machines… Pendant des jours les secours ont retiré rescapés et cadavres des décombres. Outre les blessures physiques qui souvent ont été bien prises en charge, subsistent les blessures des âmes qui ne se refermeront pas. Des sommes d’argent dites de “compensation” (provenant essentiellement des compagnies impliquées dans ce désastre) ont été versées à la plupart des victimes ou à leurs familles, mais les montants se révèlent insuffisant, ne permettant que de survivre pendant quelques années tout au plus.
Je tiens à remercier toutes ces personnes d’avoir accepté de me confier leur image et à demander à celles qui n’apparaissent pas dans cette exposition de bien vouloir m’en excuser. Il est impossible d’y représenter chacune. Merci aussi à l’association GK sans laquelle rien n’aurait été possible. Elle fait un travail remarquable dans tout le pays et dans bien des domaines, assurant également depuis plusieurs années le suivi des victimes du RanaPlaza.”
Jean-François FORT
Voici une récente vidéo de la fête annuelle de nos amis du Christ Nagar International School .Bon visionnage!
Christ Nagar International School inaugurated its annual cultural extravaganza Thrill CNIS. The day was also blessed with the Grandparents’ Day Celebration and Girls’ Cell inauguration. We were privileged to have as our Chief Guests, renowned Playback Singer and Composer Mr. Hesham Abdul Wahab and Ms. Rekha Ratheesh, Cine Artist. Mr. Wahab was honoured to be in the midst of the Christ Nagarians as he holds a close connection with Christ Nagar group of institutions. He also adorned the morning with his melodious voice. The audience was enthralled by the performance. Ms. Rekha Rathesh was also seemed to be very happy as she is also a parent of the Christ Nagar International. Another main highlight of the day was the Grandparents’ Day Celebration. It also marked the inauguration of the Girls’ Cell. The elderly grandparents were honored and the audience was dumbfounded to witness them singing in melodious tune. The meeting was presided by Rev Fr Joseph Eenthumkuzhy CMI. Rev Dr Sony Sebstian CMI Principal facilitated the occasionThe day continued with the Inter House Cultural Programmes.
Mireille Joséphine Guezennec, Présidente d’honneur de notre association
présentera lors d’une conférence une importante réflexion sur “Hanuman et le Râmâyana”
Le lundi 26 juin 2017 à 18h15 au Centre André Malraux à Paris.
Écrivain, voyageuse-photographe, Mireille Joséphine est une éminente spécialiste de la spiritualité en Inde.
CONFÉRENCES DU LUNDI
Fédération française de hatha yoga
Programme sur www.confinde.com
Le 26 juin à 18h 15
avec projection
Hanuman et le Râmâyana
Mireille-Joséphine Guézennec
Écrivain, voyageuse-photographe
Moins familier que Ganesha – dieu à tête d’Éléphant- Hanuman, le dieu-singe fils du dieu Vent (Vâyu) possède de nombreux temples et sanctuaires dans le nord et le sud de l’Inde, tant il est vénéré. Mais c’est au cœur de l’Épopée du Râmâyana que nous le découvrirons quand il mit sa puissance, son courage et ses qualités de cœur au service du prince Râma exilé. Car Hanuman est le modèle par excellence de la dévotion (bhakti) dont nous présenterons,au fil de l’œuvre magistrale, la force des signes et la puissance des symboles.
AU CENTRE ANDRÉ MALRAUX
78, BD RASPAIL / 112, RUE DE RENNES 75006 PARIS – MÉTRO : RENNES OU SAINT-PLACIDE
Entrée : 8 euros – Étudiants : 5 euros